Compagnie Soleil de Nuit
Ensemble de musique vocale
​B A R B A R A , D U B O U T D E S L È V R E S ,
D U B O U T D E S D O I G T S
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​​La critique de Joël Chevassus :
''(...) Ce disque reprend (…) les chansons de Barbara, faisant suite à un premier opus centré sur les compositions de Prévert et Kosma. Si ce second enregistrement est sans nul doute le fruit d’un travail d’équipe, il faut particulièrement rendre hommage au travail d’arrangement de la pianiste Émilie Moutin, qui transcende les compositions originales pour magnifier encore davantage l’émotion qui s’en dégage généralement. On se rend compte ainsi que la qualité d’un arrangement permet vraiment, lorsqu’il est bien conçu, de sublimer une composition. (…) C’est sans doute aussi la polyphonie de ces trois voix, ainsi que le timbre chaud du violoncelle, qui permettent de gagner en émotion et en sensualité sur cet enregistrement. (…) La tonalité globale (...) est certainement plus gaie que la triste mélancolie (...) de Barbara. Cela offre une perspective nouvelle, plus légère et moins grave, du répertoire de la chanteuse française. J’ai au final vraiment apprécié cet album, alors que je suis généralement assez insensible aux hommages rendus à cette grande dame de la chanson française. Alors, est-ce que les inconditionnels de Barbara s’y retrouveront ? Je ne pourrais le dire avec certitude mais c’est très certainement un bien bel hommage, qui lui vaut un Grand Frisson.''
Toute la critique sur AUDIOPHILE-MAGAZINE
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D U B O U T D E S D O I G T S
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La critique de Bertrand Ferrier :
''Voici un disque ambitieux (...) qui ose, propose et pose une vision personnelle et collective d’une partie du répertoire de Barbara (...) On ne peut que s’incliner devant la richesse du travail effectué. Dans un monde de fast music où les reprises sans intérêt de ce catalogue n’ont pas souvent de saveur, de profondeur et d’assise musicale di qualità, c’est un sacré atout.''
Toute la critique sur le blog de BERTRAND FERRIER.
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La critique de Stéphane Loison :
''Les voix sont de chanteuses lyriques, elles sont parfaites (...) Les mélodies de Barbara sont très simples, Émilie Moutin et Julie Horreaux sont arrivées à leur donner plus de corps, un excellent travail. L’accompagnement du violoncelle de Frédéric Dupuis et d’Émilie Moutin au piano était magnifique. (...) Alors procurez-vous leur album magnifique - la pochette et le livret superbes sont de Milan Peterlongo.''​​
P R É V E R T & K O S M A ,
C H A N S O N S & P O È M E S
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La critique du disque dans Ouest-France :
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''En sortant de l'école, Barbara, Le Cauchemar du chauffeur de taxi, À la belle étoile, La grasse matinée, La pêche à la baleine, Inventaire... Plus de vingt chansons que les cinq artistes, qui se produisent d'habitude sur les plus grandes scènes classiques et lyriques, revisitent dans des arrangements inédits, mêlant classique, jazz et cabaret. Une bouffée de fraîcheur et une mise en lumière du talent de l'immense compositeur qu'était Joseph Kosma. On les sent tous très investis et passionnés par ce répertoire qu'ils servent avec créativité.''
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O C T O B R E , D A P R È S J A C Q U E S P R É V E R T
La Critique de Guillaume d'Azémar :
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''Octobre est un beau spectacle, un spectacle de troupe, qui occupe chaque seconde de la représentation, un spectacle survolté emmené par des acteurs venus d’horizons très divers. Un spectacle avec du jeu, de la chanson, de la musique. Avec une scénographie créative. J’ai reçu la pièce à plusieurs niveaux. La langue de Prévert, d’abord, avec sa fraicheur, son naturel - Prévert, le poète qui en avait ''trop à dire pour pouvoir l’écrire''. Les tableaux, ensuite, tous poétiques, tous beaux, qui passent chacun un message fort auquel on ne peut échapper.''
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B O U T E I L L E S À L A M E R ,
D A P R È S J A C Q U E S P R É V E R T
Régine & ses petits papiers dans la revue artistique ''Récréactions''
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​''Apercevez-vous le radeau qui s’échoue sur une plage, les quatre survivants qui s’y accrochent et une mouette qui les suit ? Le public est sous le charme du jeu des acteurs, de la voix des sopranos, et du pianiste inspiré (...) Ultime clin d’œil à Prévert : les personnages prêts à mettre un message pour d’hypothétiques rescapés du futur, survivants d’un monde à la dérive. Le radeau est échoué, le temps chamboulé et le public chaviré. Les poèmes comme autant de ''bouteilles à la mer''... Prévert, visionnaire ?!''
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Toute la critique sur ''RÉCRÉACTION N°63''
